un trait d’humour efficace d’Olivier Rocheau.
Dans ce jour bien gris
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incroyable : tous ces points
lumineux en bas de l’image sont les téléphones portables des spectateurs!!!
Epycétou,
Nantes parcours hivernal d’art contemporain…
A l’hôpital
on s’épanouit…
an 77 ; hommage
aux amours disparus…
chambardement de graffs.
Affiche lue par la tempête.
Éloigner la menace,
après la tempête.
Graffeur en action
guidé par son dessin électronique sur téléphone. Le salon de la déco réunit de plus en plus d’artistes.
Commentaires des taggers
à propos d’une consultation populaire sur l’avenir de la friche du Gabut. Il y a tellement
d’entrées que le résultat semble confus et les tags le suggèrent.
Voilà ce qu’est devenu
le labyrinthe de Dan Graham inauguré en 2010. Il est comme abandonné par la ville…
Street food et street art
sous la présence du stade Rochelais.
Jours de fête à Rochechouart ;
il ne manque plus que Jacques Tati.
Voilà où en est le projet
de réaménagement du Gabut…
Fête de quartier : le monstre contre le gentil.
La fête du quartier se prépare:
lumières et sons jusqu’à minuit sans aucun visiteur…Le CNAREP organisateur se doit de dépenser ses subventions.
Festival de graffs sur le port.
chemin sauvage à
l’orée du port; des constructions nouvelles bouleversant le quartier.
Commémoration.
Fresques printanières.
le week-end des graffs féminins.
Le street art au secours de la nature??
Rue Gâte Bourse, rue à éviter??
Pluie de coeurs.
Voilà ce que devient
une oeuvre d’art contemporain (de Dan Graham) lorsqu’on ne l’entretient pas et qu’on la laisse se dégrader.
Fantômes urbains
qui ressurgissent régulièrement.
Le Gabut recto-verso.
La lecture s’affiche sur les murs du port.
Le cancer du sein est toujours d’actualité…
Fresque murale
à Brouage : un vrai fantasme.
Un lieu d’expression
populaire nivelé par les travaux d’extension du port.
La richesse de l’automne.
