Jeu d’ombres abstraites.
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Sous le tarmac, la lagune.
Cette dame de san Erasmo,
fait un gâteau avec les petits artichauts vénitiens (les castraure).
Il pleut ; rêvons ; un lieu
authentique très peu ouvert à Venise : la salle de musique de l’Ospedaletto où les riches mélomanes rencontraient les orphelines musiciennes. Une oeuvre posthume inachevée de Vivaldi y rôde encore.
De quoi oublier le crachin gris qui
se traîne depuis des heures. La couturière-créatrice de costumes Antonia Sautter, fête l’arrivée du printemps à Mazzorbo à côté de Burano – lagune de Venise.
Souvenir à Venise : pavés
de la mémoire devant les habitations de ceux qui furent déportés.
Vu à Venise : carte
des impacts du bombardement de la ville par les austro-germains en octobre 1917-l’hôpital est touché.
Les papillons closent le carnaval.
Le palais Tre Oci – Giudecca – consacré
à la photographie propose pendant le carnaval une magnifique exposition du suisse WERNER BISCHOF.
On peut visiter pendant le carnaval,
le salon de musique de l’Ospedaletto, scuola conservée telle qu’elle était au 18ème siècle.
Elle enseignait la musique aux jeunes filles déshéritées, comme à la Piéta de Vivaldi.
Pendant le carnaval, concerts
gratuits 2 fois par semaine toute l’année , sauf en été, dans le palais Cavagnis – Castello.
La restauration de Venise
transforme certaines calle en installations d’art contemporain.
Restauration du pont de l’Académie.
Festival de la Bottega
dei Sogni, pour le Mardi Gras.Le plus ancien et prestigieux groupe du carnaval de Venise (originaire d’Aoste).
Fascinant, synthèse des influences
culturelles comme Venise.
Gros succès du diable…
Bel insecte hantant
les palais ; Myriam dans le costume qu’elle a crée.
Soirée dans la Ca Bernardo
Violoniste virtuose et Grâce en DJ.
Concert Baroque dans un palais.
Cages.
Le carnaval est commencé.
Campo santa Margherita le soir :
les Vénitiens veulent vivre ; ils jouent et éduquent leurs enfants ; ils résistent .
Burano ses couleurs audacieuses; mais
une menace rôde , toujours plus de maisons sont en vente…
Oeuvre lucide de l’Italien Pistoletto
à san Giorgio. La richesse culturelle de l’art européen et Grec, ne peut rien contre l’afflux des migrants.
Oeuvre lucide de l’Italien Pistoletto
à san Giorgio. La richesse culturelle de l’art européen et Grec, ne peut rien contre l’afflux des migrants.
Toujours partout les touristes
asiatiques. Ici sur le toit de l’ancienne poste restaurée, transformée en ruche de boutiques de luxe.
Palazzo Grassi : Damien
HIRST voudrait nous faire croire que ce Donald cloqué se trouvait dans l’épave d’un grand navire romain qui transportait les oeuvres rassemblées par un richissime collectionneur. Exposition énorme et très coûteuse installée dans les deux palais d’un richissime français. Quvrant à au moins trois niveaux d’interprétation, autour de la richesse et de la puissance.
Giardini ; pavillon de l’Autriche ;
Erwin Wurm ; de l’humour ; structure ouverte, où les visiteurs tentent de réaliser les idées de l’artiste, en suivant ses instructions, et en réalisant des “sculptures minutes”corporelles.
LEGENDE DU 22-09-2017:
La pression touristique ne cesse de s’accroître. Les touristes viennent du monde entier et certains paient pour se remarier à Venise. Sous ces foules de consommateurs , Venise semble se recroqueviller, comme les villes romaines au moment des Grandes Invasions. La pression devient intenable pour les vénitiens qui d’ailleurs manifestent.
LEGENDE DU 23-09-2017:
La Fenice : recréation d’un opéra négligé de Rossini : l’Occasion fait le Larron (ici Prélude). Version inventive. Venise se tourne résolument vers les activités industrielles et intellectuelles les plus modernes. Elle tente de rebondir une fois de plus.
La “tour d’or” de James Lee Byars :
la puissance de la richesse qui s’exprime dans la même sobriété que les gratte-ciels de Manhattan.
Exposition Jan Fabre à l’Abbazia
di san Grégorio ; “Verre et Os” ; 40 années de travaux. Très coûteux et très fragile avec robes en tranches d’os parait-il humains…On jongle avec les limites dans un but de provocation esthétique. Se familiariser toujours plus avec la mort.
La Fenice : recréation d’un opéra
