John Cage, ou comment le hasard devient créatif : absence de dramatisation, aucune attente, horizon un peu de travers comme une maladresse volontaire, chaque personnage est dans sa bulle et se déplace selon ses propres motivations, éparpillement et rassemblement dans un même lieu par ailleurs plutôt quelconque, comme un accord miraculeux et déniché par le regard, on pressent que n’importe quoi peut arriver mais que le tableau d’ensemble n’en sera pas perturbé, pas de début , pas de fin sauf du fait de la marée…Tout cela ma renvoie aussi à Edward Hopper.