passe sanitaire ; ils sont hélas trop nombreux en ce moment.
Une réflexion au sujet de « Un voyageur sans »
Certes, certes, YPH s’adresse à CEUX QUI RESTENT, en vers émouvants.. Mais le lecteur sait qu’ après lui il ne quittera que deux ou trois amicales relations (pas celles de facebook) qui après avoir appris qu’il était ad patres et dix minutes de stupéfaction retourneront à leurs occupations . Et ce sera bien ainsi.
Mais lui avec pour bagage ce qui lui restera de son âme, partiellement ébréchée par lui-même et par les autres, ce n’est pas de se retourner en arrière c’est de retrouver, de rejoindre ceux qu’il a aimés qui l’on construit et dont l’absence lui est une souffrance.
Il aimerait pouvoir leur crier, par delà les espaces encore insondés, ce beau mot de… il ne sait plus qu’elle actrice “je ne pars pas j’arrive”
Certes, certes, YPH s’adresse à CEUX QUI RESTENT, en vers émouvants.. Mais le lecteur sait qu’ après lui il ne quittera que deux ou trois amicales relations (pas celles de facebook) qui après avoir appris qu’il était ad patres et dix minutes de stupéfaction retourneront à leurs occupations . Et ce sera bien ainsi.
Mais lui avec pour bagage ce qui lui restera de son âme, partiellement ébréchée par lui-même et par les autres, ce n’est pas de se retourner en arrière c’est de retrouver, de rejoindre ceux qu’il a aimés qui l’on construit et dont l’absence lui est une souffrance.
Il aimerait pouvoir leur crier, par delà les espaces encore insondés, ce beau mot de… il ne sait plus qu’elle actrice “je ne pars pas j’arrive”